Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre arrondie au milieu de son ateliers. Elle y jetait les fragments de cuivre en calme, donnant les feux danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une souffle lente, une routine née d’un geste traditionnel répété constamment. Les https://dallastcipu.educationalimpactblog.com/55884502/la-matière-qui-satisfait