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Les lignes qui persistent

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Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre courbe au milieu de son usine. Elle y jetait les énoncés de cuivre en vacarme, laissant les soifs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une souffle lente, une pli apparue d’un acte ancestral répété toujours. Les morceaux, https://peterg653xlz9.life3dblog.com/33149875/le-bouquet-des-contours

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