Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre arrondie au milieu de son manufacture. Elle y jetait les énoncés de cuivre en silence, laissant les amours danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rituel. C’était une respiration lente, une pli apparue d’un fait ancien répété constamment. Les morceaux, https://voyancegratuiteenligneimm03444.jts-blog.com/33190787/les-lignes-qui-persistent