Istanbul respirait doucement sous la chaleur du Bosphore, ses collines chargées de silences antiques et de pas pressés. Dans un fabrique anonyme entre les colonnes d’un ancestral caravansérail, une féminité aveugle, nommée Elif, façonnait des mosaïques à bien l’aide de fragments de verre, d’os polis, et d’ivoire récupéré. Chaque pécule https://devinktwxy.blogunok.com/34247814/la-surface-et-l-ombre