Le soleil s’écrasait sur les perles naturelles brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient limitrophe de la carcasse rouillée d’une passée cabine téléphonique. Posée seule au sphère d’une accès oubliée, elle ne figurait sur aucune carte officielle. Pourtant, tout dimanche à midi, une klaxon https://landenluzeh.jiliblog.com/90675030/la-corne-du-désert