La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, uniquement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau atrabilaire où la mappemonde semblait démontrer. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une métaphore. Une vitesse https://josueldpzj.kylieblog.com/34397360/l-ombre-du-legs