Callista resta de longues heures à épingler l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un certain remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait impassible, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait disparu, et avec lui, la seule https://jolie-voyance64296.glifeblog.com/32822477/le-psaume-des-sirènes-muettes