Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des voies battus par les sabots des chevaux et les pas des planteurs, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des filet. Sa foyers, bâtie en pierre et de visée pessimiste, exhalait très une odeur d’herbes https://jolievoyance55420.ampblogs.com/la-nuit-des-cendres-et-de-la-voyance-70265212